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Un référendum sur La Poste !
06/10/2009 13:11
COMMUNIQUE DE PRESSE
Votation citoyenne : la voix du peuple doit être entendue !
Alors qu’ils se sont félicités samedi du référendum irlandais approuvant le traité de Lisbonne, les responsables de la majorité dénient aujourd’hui toute valeur à la votation sur La Poste qui a mobilisé plus de deux millions de nos concitoyens. Cette conception d’une démocratie à plusieurs vitesses n’est pas acceptable : en France, comme en Irlande, la voix du peuple doit être entendue.
Cette votation confirme que les Français, à juste titre, ne croient pas à la promesse du gouvernement de maintenir le capital 100% public de La Poste après sa transformation en SA.
De deux choses l’une : soit le gouvernement retire son projet, soit il laisse s’exprimer la démocratie en relevant le défi du référendum, qu’il soit ou non d’initiative populaire. A cet égard, je me battrai au Parlement pour que la loi organique établissant cette réforme, présentée l’année dernière comme « majeure » par le président de la République, soit adoptée dans les plus brefs délais.
Enfin, Debout la République rappelle sa proposition de taxation des futurs opérateurs qui interviendront sur le marché postal français, ce afin de financer le FPNPT (Fonds postal national de péréquation territoriale) et garantir ainsi effectivement le maintien d’un réseau dense d’agences et de points de contact partout en France.
Nicolas DUPONT-AIGNAN
Député de l’Essonne
Président du rassemblement gaulliste et républicain
Debout la République
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L’Irlande finit par dire oui...
04/10/2009 08:42
COMMUNIQUE DE PRESSE
Oui irlandais au traité de Lisbonne : la victoire d’une démocratie à sens unique
La victoire, en Irlande, du « oui » au traité de Lisbonne est celle d’une démocratie à sens unique, d’une démocratie où l’on vote jusqu’à ce que oui s’ensuive.
Les partisans de cette Europe antidémocratique feraient bien d’avoir le triomphe modeste et discret : ce nouveau coup de force, après l’enterrement des non français et néerlandais, ne les honore pas et aggrave encore le déficit d’image et de résultat d’une usine à gaz sans âme ni idéal, condamnée d’avance par l’histoire.
Surtout, ils ne doivent pas oublier que la partie est loin d’être finie, la perspective d’un référendum en Grande-Bretagne dès l’année prochaine laissant l’espoir d’une mise en échec définitive du traité de Lisbonne.
Quoi qu’il arrive, la nécessité de penser et promouvoir une construction européenne alternative, réaliste et démocratique, demeure plus que jamais. C’est ce à quoi Debout la République continuera de consacrer ses efforts, avec toutes celles et tous ceux qui savent que la démocratie finit toujours par avoir le dernier mot.
Nicolas DUPONT-AIGNAN
Député de l’Essonne
Président du rassemblement gaulliste et Républicain
Debout la République
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Encore une volonté populaire écrasée au talon par les lobbies européistes
04/10/2009 08:36
67 %. C'est le résultat d'un rapide travail en coulisse des lobbies pro -UE pour infléchir les esprits. C'est aussi la conséquence des sommes faramineuses investit par les tenants du "Oui" dans cette campagne. C'est aussi grâce aux mensonges de la classe politique irlandaise pro-européenne qui a joué sur les peurs d'isolationisme du pays, cette manipulation des esprit orchestré par le gouvernement irlandais en la personne du premier ministre Brian Cowin. C'est enfin, hélas, la conséquence du jeu plus que trouble qu'a joué Declan Ganley, auto - proclamé chef de file du "Non" et dont la conduite plus qu'équivoque avec les lobbies européistes, aura tôt fait de tuer le "Non" et en conséquence, la liberté Irlandaise.
A noter que pour cette fois, à l'inverse du premier référendum, la presse et les médias firent bruyamment et sans modestie, l'annonce de la victoire du oui. Preuve éclatant s'il en est à nouveau, de leur soumission aux lobbies européistes.
PW
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Les représentants des consommateurs chassés du CA d’EDF
02/10/2009 23:38
Alors que l'incertitude sur le statut et le rôle futurs d'EDF reste totale dans le contexte de la libéralisation européenne, les signaux inquiétants (tarifs, mise à disposition de l'électricité nucléaire à des opérateurs privés,...) se multiplient. Dernier en date : après avoir chassé en 2004 le représentant des collectivités locales du Conseil d'Administration d'EDF, l'Etat vient d'évincer à son tour le représentant des associations de consommateurs...
Protestations après la disparition des consommateurs au CA d’EDF
28/09/2009 14h49 GMT - ENERGIE-ÉLECTRICITÉ-DIRIGEANTS-CONSOMMATION - Nouvelles de France - AFP
PARIS, 28 septembre 2009 (AFP) - La fédération d’associations de consommateurs ConsoFrance et le syndicat CFDT ont déploré lundi que le nouveau conseil d’administration d’Electricité de France ne compte aucun représentant de consommateurs.
"Pour la première fois de son histoire, la sensibilité des consommateurs particuliers est exclue" du conseil d’administration de l’entreprise publique, souligne ConsoFrance dans un communiqué.
Daniel Foundoulis, président de ConsoFrance, représentait les consommateurs au conseil d’administration d’EDF depuis 1999, mais son mandat n’a pas été renouvelé dimanche soir.
"En 2004, les élus locaux et représentants des collectivités territoriales étaient écartées du conseil d’administration d’EDF. En 2009, ce sont les consommateurs qui n’auront plus de représentants", remarque Philippe Pesteil, administrateur CFDT d’EDF dans un texte envoyé à l’AFP.
"EDF doit donc redoubler d’écoute envers ces populations qui représentent de grands enjeux pour le groupe, au travers des concessions (hydrauliques, de distribution) et de la concurrence qui s’annonce de plus en plus vive", estime-t-il.
"Cette orientation est particulièrement préoccupante", juge pour sa part ConsoFrance, "alors que la récente modification apportée (...) à la structure des tarifs réglementés constitue une évolution culturelle forte, au préjudice des consommateurs les plus vulnérables".
La fédération de consommateurs "ne saurait accepter que les lois du marché régentent les missions de service public auxquelles elle est profondément attachée".
Elle demande que "la sensibilité des consommateurs domestiques" soit de nouveau représentée au sein du conseil de l’entreprise.
ConsoFrance regroupe les associations Adeic, Afoc, Asseco, CGL, Cnafal, CNL, Fnaut, Indécosa, Léo Lagrange Consommation.
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Banques, école, justice : on marche sur la tête !
02/10/2009 14:03
Le flot de nouvelles toutes plus abracadabrantesques les unes que les autres ne cesse de grossir chaque jour, sans qu’on ne sache plus très bien où donner de la tête. Je n’aurais pas le temps de les commenter chacune, aussi je me focaliserai sur trois d’entre elles.
Tout d’abord, les banques : la politique publique de sauvetage des banques vient d’atteindre un nouveau cap de l’absurde avec le remboursement anticipé par la BNP des sommes prêtées un an plus tôt par l’Etat. Personne n’a oublié l’incroyable montage financier mis en place par le gouvernement fin 2008 pour prêter massivement de l’argent public aux établissements bancaires victimes de leurs propres errements spéculatifs. Incroyable car le pouvoir avait alors renoncé à tout moyen de pression - une contrepartie pourtant des plus légitimes - en refusant d’entrer directement dans le capital des banques. On nous expliquait que la collectivité serait amplement récompensée par les intérêts faramineux versés par les emprunteurs… Résultat des courses, un an plus tard : non seulement les banques, au mépris de leurs promesses, ont drastiquement resserré l’octroi du crédit aux particuliers et aux PME - c’était pourtant la raison prioritaire avancée pour justifier leur sauvetage - mais on apprend aujourd’hui que le type de prêt choisi par l’Etat pour aider les banques ne lui permet pas de profiter de la hausse importante du cours des actions bancaires depuis un an. Envolés les « faramineux intérêts », le Député Didier Migaud estimant que l’Etat se prive ainsi de plus de 6 milliards d’euros, qui auraient été bien utiles en ces temps d’explosion des déficits publics !
Deuxième fait ubuesque : le Parisien d’aujourd’hui révèle que, pour lutter contre l’absentéisme scolaire en lycées professionnels, l’académie de Créteil a décidé de « récompenser » l’assiduité des élèves en versant aux classes jusqu’à 10 000 € en fin d’année. Ce n’est plus l’école laïque, gratuite et obligatoire, c’est l’école-casino ! Au-delà du caractère choquant de cette mesure d’expérimentation (l’école, ce n’est pas « Tournez manèges »), comment ne pas voir les effets pervers que ne va pas manquer de provoquer une telle mesure ? Va-t-il falloir désormais payer tous les élèves de France pour qu’ils aillent à l’école ? Cet argent ne serait-il pas plus utile pour recruter les enseignants et personnels d’encadrement qui manquent ? La réponse tombe sous le sens…
Enfin, j’ai comme chaque Français suivi avec horreur l’assassinat de cette jeune femme en Essonne, kidnappée et tuée par un criminel sexuel récidiviste, que les autorités avaient laissé s’installer à nouveau dans la commune de résidence de sa première victime (de 13 ans), et qui avait de surcroît bénéficié de trois ans de remise de peine – soit plus du quart de la durée totale de sa peine, prononcée en 2002. On entend le président de la République et les ténors de la majorité se scandaliser devant cette situation. Mais comment se fait-il, alors, que la loi pénitentiaire, votée il y a deux semaines, étende encore plus les peines de substitution à toutes les personnes condamnées à des peines allant jusqu’à deux ans de prison ferme ? Comment se fait-il que l’actuelle majorité, au pouvoir depuis 7 ans, n’ait pas pris à bras le corps l’un des problèmes majeurs de la justice, à savoir l’insuffisance de ses moyens (qui sont, en France, moitié moins importants par habitant qu’en Allemagne et en Grande-Bretagne) ? Comment se fait-il que l’on continue, pour les délinquants les plus dangereux, à retrancher 4 mois d’incarcération à la peine totale par année passée en prison ? Et, au lieu de nous dire que la surpopulation carcérale exige de libérer de la place dans les prisons, que l’on crée enfin les capacités nécessaires ! Pour ma part, je viens de déposer une proposition de loi visant à remettre en cause les remises de peines automatiques pour les crimes sexuels et de sang… Ce serait bien la moindre des choses !
Quand donc osera-t-on des politiques inspirées par le bon sens et l’intérêt général, plutôt que par le copinage, la facilité et le laxisme ?
NDA
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